Photographie, graphisme et édition : et voilà le travail d'Ernesto Timor !
 

Sur un plateau au printemps.
Acte 1 : avec le Théâtre du Menteur…

Photo © Ernesto Timor
Entretiens avec la mer, quand les coulisses sont sur la scène…

Sur un plateau, c’était jusqu’alors le titre des portfolios par lesquels je résumais périodiquement mes collaborations graphiques et photographiques avec la scène. J’ai pris du retard dans les mises à jour, c’est un euphémisme. Plutôt que de sortir un épais volume 5 pour tenter de rattraper le temps perdu (qui ne se…), voici en quelques posts printaniers mon actualité liée au théâtre.
Quelques mots, une pincée d’images, des liens pour ceux qui vraiment veulent en voir plus : léger mais copieux ! Et nous commençons par le Théâtre du Menteur…




Une nouvelle création sur un texte de François Chaffin est en chantier, Je suis contre la mort, le visuel que j’ai créé ouvre les dossiers de recherche de partenariats (en savoir plus…). Autre nouveauté, la compagnie propose  une lecture-spectacle intitulée Le grand vacarme (réc­its de vie et de mort durant la guerre de 14–18), commande des archives départementales de l’Essonne appelée à rayonner : j’en ai aussi réalisé l’affiche (en savoir plus…). Enfin, le (petit) théâtre de la Cavalerie, en val d’Essonne, propose plus que jamais ses Ruées dans les box un vendredi par mois : petites formes hors format, décloisonnement tout azimut ; j’ai repensé la ligne graphique de la communication de ces événements, désormais plus visuelle (en savoir plus…).

 

Et puis juste avant, il y a eu les dernières dates (de la saison ?) d’Entretiens avec la mer, cette trop brève aventure franco-nippone (en savoir plus…). Ici je n’en avais montré que des images de répétition et aussi parlé du livre associé, mais jamais de photos de plateau récentes, c’est un comble. Voici cette injustice réparée…

 

Enfin, ces Entretiens m’ont inspiré pendant toute cette année un side-project expérimental, suite de 7 petits films photographiques, les Black Variations. Des manières nouvelles sans façons et sans filet — pour l’auteur, de revisiter ses mots vus sous un autre angle ; pour moi-même, de jouer l’écho distordu ressenti depuis mes propres cavernes obscures… L’intégrale a fait l’objet d’une projection publique en mars 2015, et l’on retrouve les 7 vidéos compilées en plus petit sur cette page… Ci-dessous quelques écrans de générique pour tenter de fixer le souvenir…