Papier Machine (publication quasi-semestrielle outre-Ardennes qui déboîte), a sorti fin 2015 son numéro 3, tout construit sur le mot prétexte « Manche » : c’est, comme les numéros précédents, beau nouveau et intéressant. Et ce numéro tant attendu comprend même une longue contribution (photographies, texte et raturages compulsifs) commise en complicité entre moi-même, le ci-devant Ernesto Timor, et l’indiscret Jean-Louis Baille qui se fait ici passer pour Jo Nucci, toujours chargé des basses besognes… C’est joyeusement absurde, en voici des aperçus ! Mais le mieux est bien sûr de la lire en papier : la revue artistique incorrigiblement hors format ne court plus tant les rues, de nos jours…
Feuilletage de la revue, avec d’inévitables effets de manche, et coup de loupe sur deux passages pour tenter de donner une idée claire, à l’écran, de l’imbroglio que c’est sur le papier !…
On trouvera rien ici.
Pas la peine d’insister.
Piotr le sait.
Piotr le sent.
C’est pas là.