La poésie construit des nids de poule sur l’autoroute de la dévastation du monde.
Ceci est une des perles amères de Ça ira bien demain peut-être, sous-titré « lecture musicale écolo-poétique pour une contrebasse et deux bouches ».
Côté contenu, il s’agit d’un montage tous azimuts de textes autour de l’amour intranquille qui lie depuis toujours les hommes à la nature et dont l’issue s’accélère un peu trop ardemment. Il est donc question d’écologie avant la lettre et ça court jusqu’aux annonces anxiogènes du GIEC…
Côté mise en forme, les deux bouches (amplifiées) dont celles de Céline Liger et François Chaffin (Théâtre du Menteur), la contrebasse (électrique) est agitée de main de maître par Philippe Laccarrière (Au Sud du Nord).
Une création printemps-été 2025, avec multi-contributions de Timor : séance photo de communication, affiche du spectacle et, objet plus singulier, un teaser sous forme de film photographique, à découvrir ci-dessous.
Ci-dessous une sélection de photos en mode survivaliste…